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Histoire de mon premier fist : ma femme a adorée !

Benoit est marié à Nadine depuis plus de 10 ans… Et pour mettre du piment dans sa relation il a voulu essayer le fisting. A travers cette histoire de cul, Benoit nous raconte comment il a pu aborder le sujet avec sa femme avant de passer à l’action…


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Je suis Benoît, j’ai trente ans et je me considère comme un homme ayant déjà vécu assez d’expériences dans le sexe, pour ne pas être considéré comme un débutant.
Mais il y a une chose que je n’ai encore jamais faite, et que je n’avais encore jamais proposé à ma compagne : le fisting !

Il faut dire qu’avec Nadine, nous sommes mariés depuis 15 ans et nous avons beaucoup de complicité. Mais nous sommes toujours restés très traditionnels dans les positions sexuelles, lors de nos ébats.

Elle n’a pas vraiment l’habitude de changer, et moi non plus et il faut bien avouer que nous restons un couple très classique, disons-même aussi classique que nos positions dans le lit.

Un collègue m’a parlé du fist fucking…

Mais un jour, à mon boulot, j’ai un collègue de travail qui m’a raconté que sa femme adorait quand il lui fourrait sa main dans le vagin.
Aussi crue et indélicate que fût cette déclaration au pied de la machine à café, cet homme à cependant titillé ma curiosité, moi qui n’avais tout juste que caressé le clito de ma femme avec les doigts ou la langue jusqu’à présent.

Je m’imaginais alors trouver ici un moyen nouveau de pimenter notre couple, pimenter nos soirées, pimenter nos ébats. Mais connaissant Nadine, je ne savais pas vraiment comment elle prendrait la chose. Je suis partagé entre l’envie de lui demander si ça lui ferait plaisir, et l’envie de la laisser venir à moi pour me demander de le faire.
Mais la seconde option me semblait définitivement perdue, Nadine adorant déjà nos ébats actuels et se contentant donc du minimum syndical pour prendre son pied.

Lorsque je rentre ce jour-là, j’approche sensuellement de ma femme et l’enlace pour l’embrasser. Je me sers un verre de whisky, en bois une rasade et commence à aborder le sujet du repas de ce soir.
Là elle me rappelle alors une chose qui m’étais totalement sortie de la tête.
Ce soir j’étais invité à la crémaillère d’un pote qu’elle pouvait pas blairer.
En effet, j’avais oublié que j’avais fait des pieds et des mains pour qu’elle vienne quand même avec moi mais elle avait refusé, m’implorant d’y aller seul et de ne pas se couper de mes relations pour elle.

Ma femme était chaude pour essayer le fisting

Puisque nous parlons potes, je lui raconte alors l’histoire de fist que m’a raconté mon autre pote au taf. Je fais bien exprès d’appuyer sur le terme fisting pour lui faire comprendre ce dont nous parlons.

Et c’est à ce moment précis qu’elle me sort une phrase que je ne me serai jamais imaginé pouvoir sortir un jour de sa bouche.
« quand tu veux tu me fais ça pour changer un peu de nos positions planplan ! »

J’en reste tellement estomaqué que je me demande si en fait le problème ne venait pas de moi, de ma gêne et de mon manque de confiance en moi.
Quand votre femme vous sort ça, alors que vous l’imaginer rougir juste en lui montrant un gode, vous tombez de haut, croyez-moi !

Je suis parti à la soirée car j’avais promis de faire une apparition. Mais dans un autre sens, j’étais tellement pressé de rentrer que j’ai bu plus et plus vite que de raison. Me retrouvant éméché à mort et surexcité comme un chat derrière une chatte en chaleur.

Elle m’attendait pour que je la fiste pour la première fois

Lorsque je suis entré, ma femme était allongée sur le ventre dans le lit, en petite culotte et m’invitant à lui rendre mes hommages.
Je me suis assis à côté d’elle, et alors qu’elle était encore endormie, j’ai fait glisser sa culotte le long de ses cuisses, glisser ma main sur sa petite chatte qui commençait déjà à mouiller.
Là elle place alors, comme un réflexe, son cul en bombe sur le lit, me proposant sa vulve bien humide et chaude à hauteur du visage.

C’est le moment où jamais de passer au fisting pensais-je sur le moment.
J’ai commencé à entrer deux doigts, puis trois et je sentais sa minette s’ouvrir de plus en plus et redemander de nouveaux invités.
Je rentre alors 4 doigts et fait des vas-et-viens sous des gémissements qui me confirment qu’elle attendait ça depuis longtemps.

Elle à joui lorsque j’ai enfoncé ma main en entier et m’a murmuré un truc en mordant l’oreiller…
« Je veux que tu me réveilles comme ça demain matin ! »

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